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En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua ||

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En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Empty En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua ||

Message par Admin Jeu 17 Sep - 11:36

En garde, espèce de vieille pute dégarnie !
« J’pensais à une chose, en toute amitié :
Un gros pain dans votre tronche,
ce serait de nature à vous convenir ? »

Assise sur le tapis, mes deux jambes tendues devant moi, je penche mon buste pour aller toucher mes orteils. Inspiration, expiration, et je descends un peu plus bas. Comme toujours, toute mon attention est fixée sur ce que je suis en train de faire : j’ai jamais été du genre à faire les choses à moitié. Sauf lorsqu’un objet non identifié vient atterrir dans mon décolleté.

« Kenji, spèce de raclure du bidet ! »
« C’est toi qui me montre tes nichons ! Comment tu veux que je reste sérieux ? »
« Ils ont quoi mes nichons, ils te reviennent pas ? »
« Si tu commençais au moins par te mettre un soutif en dentelle, au lieu de ce machin informe … »
« Le machin informe il va assommer tes testicules si tu continues à me broyer les ovaires. »
« Arrête de faire ta gonzesse. On sait tous très bien que c’est des testicules que t’as à la place des ovaires. »
« Au moins si j’avais des testicules, tu t’amuserais pas à me mettre des raisins secs dans la brassière. »

Pour toute réponse, il se contente de ricaner, alors que je me débarrasse du dit raison sec. Sans aucune délicatesse, je réajuste ma brassière et me relève, suivant du regard le jeune homme qui retourne au vestiaire avec un signe de main. Je viens d’arriver, et il repart déjà. Foutus jobs. Maintenant je me retrouve toute seule, et je vais devoir affronter un de ces biceps en plastique qui me laissera gagner juste pour ne pas frapper une femme. Bande de couillons. Plutôt que d’être déçue une énième fois, je vais positionner devant un punching-ball, sur lequel j’entreprends de passer ma frustration.

« Larsen »
« Sensei. »
Je m’arrête juste le temps de m’incliner, alors que le prof attrape de sac pour le bloquer. Et je recommence à frapper, mais cette fois, tout en restant attentive à la conversation.
« Il y a un petit gras qui viens de reprendre la boxe. Je me disais que tu pourrais t’en charger, vu que Kenji est parti. »
Mon regard se relève vers les rings, alors que j’essuie une goutte de sueur d’un revers de poignet. Je le repère facilement, la seule tête inconnue dans la salle. Je le jauge, sans me soucier le moins du monde de son regard tourné vers nous. Vu sa carrure, il va faire un adversaire redoutable. Et puis mon regard se pose sur son bras gauche. La prothèse est bien faite, mais elle n’est pas invisible. Un léger frisson agite mon échine, sans que j’en comprenne la signification. Mon regard, lui, ne le lâche pas. Ma mère m’a toujours dit que c’est malpoli de dévisager un handicapé. Je vois pas pourquoi ce serait plus malpoli que de dévisager n’importe qui.

En quelques pas, je me retrouve face à l’armoire à glace. Bordel, il est encore plus imposant de près.
« Larsen, je te présente Joshua Sullivan. Sullivan, voilà Dylan Larsen. Ça sera ton premier adversaire. » Je le remercie intérieurement de continuer à me donner ce nom. Le prochain que j’entends m’appeler Okamoto, je lui arrache les roubignoles pour lui en faire un joli pendentif.

« C’est lui la bleusaille ? Je vais quand même pas me battre contre un handicapé ! »

Ma voix, puissante, résonne dans toute la salle. Derrière moi, j’entends un des biceps plastifié éclater d’un rire sonore, alors qu’il me crie un : « Dis-toi que t’es une femme, ça t’en fais déjà un sacré, de handicap ! »
Sa phrase s’éteint sous l’impact de mon gant, qui lui atterrit en pleine poire après un vol plané à travers la salle. Un handicapé et une femme. On va faire un joli couple sur le ring.

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Joshua Sullivan

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Mer 3 Juin - 10:06 Répondre en citant Editer/Supprimer ce message
Ça faisait combien de temps qu'il avait pas fréquenté ces lieux? Bien sept piges nan? La manifestation l'avait remis en face de vérités cinglantes: il avait perdu en muscle, en réflexe et en méthode. Joshua avait toujours été raide comme gaillard, cela dit il encaissait les coups sans pareil et il avait une force de frappe incroyable, ça compensait. Mais avec le temps ses muscles avaient pris la rouille comme les boulons d'une cabane de pêcheur en bord de mer Bretonne. Et sa main en ferraille venait s'ajouter au tableau du port de pêche. Un gros coup de karcher s'imposait avant qu'il ne s'encastre tel une épave à la prochaine marée montante. Dans le temps où il pratiquait du deux fois la semaine, Joshua vivait encore chez ses darons, c'était le club du bled et l'ambiance y était vraiment bien. Aussi parce que dans le lot, il avait matière à faire le fier, aucun des gars lui arrivait à la cheville si bien que son partenaire de castagne était la maître en personne, pas bien haut mais un bloc de muscles et de nerfs qui était passé maître dans plus d'un art martial. Jamais à Tokyo il n'avait pris le temps de se réinscrire à nouveau à ce sport qu'il adorait pourtant. Jusqu'à ce jour.

Ça avait rien à voir avec ce qu'il avait connu: moins convivial. Déjà rien qu’à la gueule de la salle qu'était du genre, trois fois plus grande que son petit carré de campagne. Aussi, aux tronches des mecs présents dans l'arène, on retrouvait souvent les mêmes profils, et certains plus que d'autres: les mecs présents pour la gonflette et se la péter devant bambinasse, les nerveux qui avaient le regard mauvais et voulaient apprendre à se battre pour prendre du grade dans la bande, les sages qui pipaient pas mot et qui se révélaient bien souvent être les plus dangereux, et le reste: ni mauvais, ni bon, difficile à dire, on se fiait à leur carrure pour jauger. Y avait eut le salut du maître de cérémonie, un bridé au crâne lustré et aux biceps en dur, nez pété et regard assuré du mec qui dégageait du level rien que par sa présence. Joshua nota à sa gueule qu'il était pas tombé dans un camp de scoots et ça le conforta dans son choix. Choix complètement hasardeux quant au club vers lequel il s'était tourné: merci m'sieur flyer, tout droit tombé dans sa boite mail.

Chaussé d'une paire de baskets, d'un tee shirt gris et d'un jogging qu'avait pas du voir la lumière du jour depuis son dernier repas équilibré, il foula le ring pour mesurer l'espace. Son œil aux aguets chercha du regard le partenaire que le big boss était parti lui dégoter, et là, surprise, ou juste une grosse blague dans sa gueule, il ramena une donzelle super bien roulée à la tignasse brune comme il les aimait sous le museau.

« C’est lui la bleusaille ? Je vais quand même pas me battre contre un handicapé ! »
« Dis-toi que t’es une femme, ça t’en fais déjà un sacré, de handicap ! »

Cette grognasse lui avait porté affront, bien qu'elle n'avait dit que le vérité, il allait l'ouvrir lorsque soudain la miss Larsen répondit du poing sous la remarque, envoyant aussi sec le macho bodybuildé sur les rotules. Ce fut plus fort que lui ce sourire moqueur sous la fossette, agrémenté d'un soupçon d'admiration suite à cette dérouillé magistrale en une frappe. La remarque se lisait presque dans son regard: "Quelle gonze...!". Relevant le menton vers elle d'un geste provocateur il lui rétorqua:

- Mais viens, viens donc prendre ta branlée par l'amputé du club... J’suis pas venu là pour t’offrir des fleurs mais plutôt des torgnoles. Alors t’es gentille, si t’as la frappe qui te démange c’est à moi que tu t’adresses.

Position de combat, les muscles encore chaud de l’échauffement fait quelques minutes plus tôt, le boss acquiesça du menton et la place se fit autour d’eux. Ils ouvraient le bal et il était temps pour Josh de montrer qu'il n'avait pas totalement perdu la main. A défaut d’avoir des gants de premières fraîcheurs, surement délaissé dans un carton du grenier chez les vieux, il avait enroulé autour de sa main droite quelques bandages pour amortir les chocs.

- Par contre j’préfère te prévenir, j’ai jamais combattu encore avec cet engin là, il pointa du regard sa main cyborg, j’vais pas me rendre compte de l’impact alors si ça pique trop t’articules quand tu cries et j’corrigerai le tir. Ça me ferait chier de te casser en deux avant d’avoir pu t’offrir une pinte.

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Dim 14 Juin - 18:05 Répondre en citant
En garde, espèce de vieille pute dégarnie !
« J’pensais à une chose, en toute amitié :
Un gros pain dans votre tronche,
ce serait de nature à vous convenir ? »

Bizarrement, avant qu’il ouvre sa gueule, j’avais décidé qu’il m’avait l’air d’être un abruti. Sa stature, haute et large, me rappelle trop tous ces mecs qui nous entourent, trop surs de leur propre valeur pour envisager de se fritter sérieusement avec une femme. Je suppose que voir sa main détachée de son bras, ça doit vous apprendre qu’on tombe tous un jour sur plus fort que soi. L’image de ma propre main, gisant sur le sol, dans une flaque de sang, me donne un frisson dans le dos.

« Mais viens, viens donc prendre ta branlée par l'amputé du club... J’suis pas venu là pour t’offrir des fleurs mais plutôt des torgnoles. Alors t’es gentille, si t’as la frappe qui te démange c’est à moi que tu t’adresses. »

Etonnement, pendant un instant, mon esprit bloque sur le décalage entre l’image que je m’étais fait de lui, et ce qui sort de ses lèvres. Ouai, j’sais, j’ai tendance à juger hâtivement les gens. Et cette fois, visiblement, j’étais bien à côté de la plaque. Finalement remise de ma surprise, j’admets ma méprise de bonne grâce et éclate d’un rire sauvage. Lorsqu’il se met en place, je me positionne en face de lui, sautillant un peu sur place pour garder mes muscles actifs. On sent déjà la tension monter, mes muscles se tendent, mon regard se braque sur ma cible. Je cligne des yeux, me racle la gorge. Non, on va pas trop le regarder dans les yeux, sinon mon cerveau va commencer à battre la campagne.

« Par contre j’préfère te prévenir, j’ai jamais combattu encore avec cet engin-là, j’vais pas me rendre compte de l’impact alors si ça pique trop t’articules quand tu cries et j’corrigerai le tir. Ça me ferait chier de te casser en deux avant d’avoir pu t’offrir une pinte. »

Je fais rouler mes épaules avec un sourire de défi, plaçant ma garde, prête à parer le premier coup.

« Arrête d’essayer de m’assommer avec tes monologues, et montre-moi ce que tu sais faire avec tes poings, si t’es un homme. » Mon grand sourire et mon ton taquin démentent le côté insultant de mes paroles. « Et t’inquiète pas pour moi C-3PO, faut déjà que t’arrive à me toucher ! » J’accentue le dernier mot avec un ton faussement aguicheur. Pas tout à fait faussement, finalement. « Amène-toi, je t’attends. »

Cette fois-ci, mon sourire disparait, et seule la concentration se lit dans mes yeux. Je suis pas une super combattante, du point de vue technique. Certes, ma pugnacité compense mon manque de force, et mon agilité mon manque de technique. Mais surtout, ce qui me sauve toujours les miches, c’est ma capacité à continuer, quoi qu’il advienne. A garder cette concentration, même quand je pisse le sang. L’habitude d’avoir plusieurs adversaire, sans personne pour surveiller les arrières, ni pouvoir arrêter le combat. C’est pas de ma faute, j’ai pas vraiment pu attendre d’apprendre sur le ring avant de commencer à me battre.

J’esquive premier coup, bloque le deuxième. Il manque un peu de fluidité, mais même en ayant bloqué, la force du coup fait vibrer mes muscles. Je profite du répit pour lui envoyer un direct du droit, puis avance d’un pas pour lui balancer un uppercut dans le sternum. Alors t’en dis quoi, le le rouquemoute ? C’est à ton goût ?

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Joshua Sullivan

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Sam 20 Juin - 22:49 Répondre en citant Editer/Supprimer ce message
Elle est marrante avec ses allures de garçonnette et sa voix cassée au rire tonitruant. Il a l'impression de l'avoir déjà vu quelque part ça, ce timbre, cette manière de se tenir, ça lui dit quelque chose. Elle s’échauffe rapidement, lui fait face alors que Joshua fait craquer ses articulations en prévision, ça se mitraille du regard et il ne peut pas s'empêcher d'esquisser un sourire charmeur, c'est plus fort que lui. Elle a vraiment une jolie frimousse. Même si jolie est paradoxalement le mot qui lui colle le moins au caractère.

« Arrête d’essayer de m’assommer avec tes monologues, et montre-moi ce que tu sais faire avec tes poings, si t’es un homme. Et t’inquiète pas pour moi C-3PO, faut déjà que t’arrive à me toucher ! Amène-toi, je t’attends. »

D'un geste fugace de tête sur le coté il lui signale la bonne réception du message et ajoute pour finir:
- Te toucher? Ça c'est un challenge qui me plait bien.

Et alors l'ours attaque, tente un crochet droit qu'elle esquive, puis un autre qu'elle tacle. Ça se décrasse en douceur, ça prend son temps, il cherche ses placements, replace ses bras en défensive, les vieux réflexes remontent mais pas assez vite, c'est brouillon, sans précision. Elle perce sa défense et frappe sur le thorax, ça résonne dans sa cage thoracique et le fait reculer d'un pas, perdant légèrement son équilibre. Mais ça reste un point nerveux pas très pertinent, et il encaisse sans mal, par contre il note sa hargne et se fait la remarque qu'elle est mignonne les canines retroussées aussi.

Joshua ramène ses poings devant lui, ancrant ses appuis et alors l'ogresse en profite pour lui retourner une savate dans la gueule, elle y met bien l'élan et il sent un léger craquement dans sa mâchoire, secoue la tête, rembraye, elle est rapide et lui laisse peu de répit entre chaque attaque, le genre gatling qui relâche pas la cadence, mais c'est bien, ça lui remet du plomb dans la tête quant à la défense à adopter en fonction des situations, et encaisser ça il sait faire sans mal. Surtout que brah, elle sait frapper mais ça reste du petit calibre, et elle semble pas connaitre les points stratégiques qui te permettent de faire plier n'importe quel gars de 120 kilos. N'empêche que ça l’énerve, pas folle la guêpe, il trouve pas d'occase pour la tacler, ou quand il essaie, elle esquive à temps.

Jusqu'au moment où il perce enfin sa défense, un direct long lui arrive dans l'épaule suivi d'un fauchage de sa jambe d'appuis lui faisant perdre l’équilibre. Une fois au sol, Joshua s'approche d'elle un sourire victorieux sur la face et rabaissant sa garde il lui lâche:

- Ça fait quoi de se faire foutre à terre par un handicapé? Pas trop dur?

C'est là qu'il a la mauvaise idée de tourner la tête vers le boss imaginant la démonstration terminée il commença à lui parler forfait:
- Vous faites des tarifs spéciaux pour les revenus précaires ou...

Y a comme un rugissement dans l'air suivi d'une furie qui le prend à la taille et le tacle avec violence en arrière. Merde. C'était quoi le signal de fin de match déjà? De toute évidence, il n'avait pas était donné car la Larsen le clouait présentement au sol lui raflant mandale sur mandale jusqu'à ce que le rouquin ait la présence d'esprit d’arrêter son poing dans sa paume et de le lui tordre gentiment pour mieux la renverser sur le coté et dans un roulé boulé, reprendre le dessus sur elle. A ce stade, le combat n'avait plus vraiment à voir avec de la boxe. Il la gifla sans ménager sa force, comme si ce geste vieux comme le monde avait su depuis la nuit des temps calmer la femme au foyer bêta. Sauf que cette femme là, c'était pas vraiment un produit bêta. Et c'eut même l'effet voulu contraire, au lieu de la calmer, elle se mit à rager encore plus fort et à se débattre comme une acharnée, c'est là qu'il l'a reconnu. La nana de la manif. Il lui sourit alors franchement le regard scintillant d'une admiration encore plus grande, et alors que le maître avait fait signe bien cinq fois entre temps de mettre fin au duel, Joshua daigna enfin la libérer se marrant de bon cœur pour sortir finalement:

- Oh Larsen! Tu te souviens qu'on s'est déjà croisé? Il lui laisse une minute le temps qu'elle se redresse et récupère un peu, lui, il a le souffle encore saccadé par leurs échanges mais fini par poursuivre. ...A la manif, 'me semble qu'on s'est vu. T'avais pas genre, et là il mima les fringues, un vieux sweat gris avec un tissu rouge sur la gueule?

Le colosse attend une réaction de sa part, mais déjà dans sa tête c'est une évidence, cette gonze, il l'aime déjà.

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Lun 22 Juin - 22:32 Répondre en citant
En garde, espèce de vieille pute dégarnie !
« J’pensais à une chose, en toute amitié :
Un gros pain dans votre tronche,
ce serait de nature à vous convenir ? »

Bordel. Il est plus coriace que prévu le robotisé. Bon, ok, c’est peut-être moi qui suis pas au niveau. Alors plutôt que d’essayer de l’allonger en un coup, je l’enchaine, cherchant le point de cassure. Ce moment où il sortira du rythme. Je sais que je suis capable de tenir un moment à ce rythme. Et lui, combien d’énergie il lui faudra pour faire bouger sa lourde carcasse ? Alors j’essaie de faire mes pas de danse autour de lui, tout en restant insaisissable. Mais c’est toujours pareil en danse : un faux pas vous suffit à vous retrouver le cul par terre. Et cette fois-ci ne fait pas exception. J’ai pas le temps de dire ouf que me voilà le fessier au tapis, avec barbe rousse qui se fend la poire.

« Ça fait quoi de se faire foutre à terre par un handicapé ? Pas trop dur ? »

Saloperie. Il me tire même un rire. Faut dire, je lui ai tendu le bâton pour me faire battre. Mais mon sourire disparait lorsqu’il se retourne, m’oubliant tout simplement. En voilà encore un qui part du principe qu’une gonzesse va retourner chialer dans les jupes de sa mère à la première torgnole. Il va voir ce que ça coûte, de sous-estimer ses adversaires. Avec mon familier grognement d’ours, je me rue sur l’armoire à glace, profitant de son relâchement pour le déséquilibrer. Une fois mon adversaire mis à terre, j’entreprends contentieusement de rattraper mon retard en matière de tatane, jusqu’à ce qu’il me bloque à terre. Pendant un instant, mon regard le défie, allant chercher jusqu’au fond de son regard une faiblesse à exploiter. Tentative qu’il fait taire d’une gifle. Ma tête part en arrière, heurtant le tapis. Combien de fois une telle gifle m’a envoyée valser contre un mur, un évier, ou encore la cuvette des toilettes ? Lorsque mon regard se lève à nouveau sur lui, une rage sourde y a gommé toute trace d’humour. Mais il n’a pas l’air d’y prêter attention, ignorant l’avertissement qui brille dans mes prunelles.

Je prends le temps de retrouver mon souffle, d’éponger d’un coup de langue la goutte de sang qui perle de ma lèvre craquelée. Derrière le colosse, Miura-Sensei me lance un regard d’avertissement. J’inspire, puis j’expire pour relâcher la tension, comme il me l’a appris. Mais un nœud reste, et il y restera tant que le problème ne sera pas réglé. Je m’approche du jeune homme d’un pas ferme, et dans un même mouvement, lui enfonce mon genou entre les cuisses. Alors qu’il se recroqueville, je l’allonge en copiant son propre fauchage. Sans lui laisser le temps se retrouver son souffle, je m’accroupi pour lui attraper le visage d’une main, l’obligeant à me regarder dans les yeux.

« Frappe moi encore comme tu viens de le faire, comme un maître dominateur frappe sa chiennasse, et … » Un mouvement du menton désigne ses parties « Je te les arrache pour m'en faire un pendentif. Okay ? »

Il n’y a plus vraiment de rage dans ma voix, ni même dans mes yeux. Juste une volonté inflexible. Lorsqu’il hoche la tête, je me redresse et lui tends la main, mon sourire ayant fait son retour sur mes lèvres.

« Je crois que me souviens de toi. T’avais une bombe de peinture et … tes deux mains, si je me souviens bien ? »

Ni mon ton ni mon visage ne laisse rien paraitre de ce qu'il vient de se passer. Je sais qu'on dit souvent que je suis rancunière. Mais voilà encore une preuve que ça n'est pas, en tout cas pas toujours, le cas. Je règle le problème dès qu'il se pose, point barre. J'ai jamais compris ceux qui encaissent jusqu'à ce que ça explose. C'est juste bon à tout détruire sur son passage. Et j'ai décidément pas envie de détruire ce qui est en train de naitre.

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Jeu 2 Juil - 0:29 Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

Spoiler:



Bim! Mange toi ça dans les roubignoles vieux! Ta respiration se coupe nette, la douleur t'assaille, tu courbes l’échine, une souffrance sourde se lit sur ton visage mais aucun son ne sort, trop occupé à morfler pour gémir. Le coup de grâce qui mettrait n'importe quel homme au tapis direct. Échec au roi.

« Frappe moi encore comme tu viens de le faire, comme un maître dominateur frappe sa chiennasse, et … Je te les arrache pour m'en faire un pendentif. Okay ? »

T'as même pas de souffle pour lui répondre, ça fait trop mal bordel. Instinctivement tes mains se sont repliées sur tes parties les voilant d'une maigre protection tandis que la douleur lancinante poursuit son œuvre. Tu hoches la tête serrant la mâchoire pour ne pas sortir une dernière connerie et qu'elle t'achève, te privant de ta faculté de reproduction à jamais.

« Je crois que me souviens de toi. T’avais une bombe de peinture et … tes deux mains, si je me souviens bien ? »

Elle t'avait tendu une main, l'air de rien, pour t'aider à te redresser. Trop fier pour avouer que t’étais loin d'être remis, parce qu'un coup pareil dans les couilles ça te durait sur d'interminables minutes, tu te relèves feintant le naturel, puis prends appuis sur tes genoux, grimaçant une fois la tête basse, la tignasse rouge masquant tes expressions. Tu laisses filer quelques secondes comblant ta pause en zieutant sur le coté pour signaler du regard aux autres que le spectacle était terminé, et enfin, quand t'as retrouvé un rien de force, tu te redresses vers elle et lui réponds:

- Ouais... Il est loin le temps où tu risquais pas de te faire broyer les couilles ou la main pour une toucherie déplacée... Tu relèves les yeux vers elle et pivote un coup de menton vers le coté sans la quitter du regard. Je suis pourtant pas tatillon mais y a de la mesure à avoir mesdames...

Ça lui allait bien de dire ça tiens.
Puis la recréation fut terminée. Le maitre avait frappé des mains et après l'avoir jaugé du regard, annonça le programme du jour. La miss Larsen allait être sa partenaire pour la séance, et c'était pas pour lui déplaire, même s'il se passerait bien d'un coup dans les couilles supplémentaire à l'avenir. Une coque. Une putain de coque. Voila ce qu'il allait devoir se dégoter. La série de passes qui suivirent se fit à tour de rôle. Contrôle des appuis, rotation du corps, précision et position de défense furent les thématiques principales. De quoi dérouiller les boulons en somme. Tu perdais pas le nord Sullivan, dès que t'avais l'occasion de mater un bout de rose qui dépassait ou que ses fringues - une fois le sweat barré dans un coin (merci Seigneur) - laissaient suggérer ses courbes alléchantes t'y jetais volontiers un œil, ou deux, ou trois (hein?). T'avais dégainé ton plus beau sourire et tu la jouais taquin déconnard avec une once de gravelosité maniée avec autodérision.

Tu te laissa vite séduire par sa moue "me casse pas les couilles" et sa grande gueule qui lui déformait joliment le visage, ça lui donnait un air marrant et même curieusement mystérieux. Cherchez pas, c'était l'effet du "sous le charme", en vrai elle avait juste un air de gonze qu'on emmerde pas. Dès que tu pouvais, t'y allais au tactile, c'était pas une manigance de ton esprit - bien trop basique pour élaborer si loin - c'était naturel et aussi parce que tout ton corps t'en redemandait, du Larsen. Les choses les plus sérieuses que t'avais pu lui sortir durant le cours ça avait du être les trucs comme:

- T'as une de ces frimousses... Ça me donne des envies de te croquer sous tout les angles... J'te parle de dessin hein. Bien sûr. Oui non parce que c'est mon job en fait de dessi...!

Et là elle t'avait agressé d'une droite ganté dans les tiens, de gants, qu'on t'avait refilé en dépanne. Position défensive pour qu'elle t'enchaine du coup, elle était genre, déchainée, une vraie bête furieuse, c'était beau à voir.

Le cours touchait à sa fin. Ça sentait l'effort et t'étais plutôt content du feeling qui se tissait entre vous. Moins de ta prestation de vieux vétéran dégarni par contre. Mais t'avais pu voir une esquisse de sourire sur sa bouille, et deux trois bourrades que t'avais jaugé encourageantes de sa part sur ton torse. Pas de quoi affirmer que tes avances allaient porter leurs fruits mais assez pour espérer quelque chose de sa part. Et alors que vous rangiez le matos, tu lâchais les vannes à deux francs six sous pour reprendre sur du sérieux, histoire de mieux la connaitre, ta valkyrie:

- Et toi à part gueuler dans des manifs et castrer des bonhommes, tu fais quoi de tes journées? T'as pas un copain sur qui te lâcher? ...Ou plusieurs?

Putain, si Dieu existe c'est le moment magique ou t'es censé me dire qu'elle a pas de mari. Vous entamiez d'un pas lent la direction vers les vestiaires tandis que tu lui souriais avec un air de malice non dissimulé.

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Mer 29 Juil - 17:19 Répondre en citant
En garde, espèce de vieille pute dégarnie !
« J’pensais à une chose, en toute amitié :
Un gros pain dans votre tronche,
ce serait de nature à vous convenir ? »

Pendant qu’il récupère, je fais mine de remettre mes vêtements en place, incluant ma brassière. Mon père m’a toujours dit que la fierté d’un homme est fragile et qu’il faut savoir la préserver. Surtout quand ça porte sur les testicules. J’y ai peut-être été un peu fort, c’est vrai. Je baisse la tête en signe d’excuse, sans pour autant réussir à me départir d’un petit sourire en coin. Et nous voilà repartis pour un tour, alors que la séance commence. La présence familière de Kenji me manque, mais le sourire et l’humour du jeune homme ont tôt fait de me faire oublier ma contrariété. Faut dire qu’il a de la gueule, une fois qu’on s’est habitué à sa tignasse rouge. Son visage est de ceux qui te donnent envie de sourire sans raison particulière, et qui font fondre les midinettes. Je suis loin d’en être une et pourtant, même moi, je me laisser toucher par son charme.

Je perçois vite son petit jeu. Il faut le dire, il n’essaie pas de le cacher. Et mine de rien, je me laisse entrainer. Je suis pas le genre de fille qui monte des plans séduction, qui roule des hanches et qui prend des airs de fillettes. Pour moi, l’attrait est une question de feeling, d’alchimie, et pas de stratégie. A chacune de ses réparties, je me déride un peu plus, mon regard s’égare de plus en plus souvent dans le sien. Ce qui me vaut d’ailleurs ma part de torgnoles. Je lui réponds sur le ton de l’humour, agrémentant mes réparties de sous-entendus plus ou moins salaces. Plus ou moins charmants. Je ris de son rentre dedans, avec mon assurance coutumière qui me donne des airs inaccessibles. Je sais que j’en fais fuir pas mal, à jouer les intouchables. Mais j’ai pas non plus peur d’aller les chercher par … ouai, bon, vous avez compris.

Au fur et à mesure, l’ambiance change, le rythme se modifie. Vous savez, cette tension grandissante qui fait vibrer vos muscles, cette impression que tout se joue là, maintenant, à chacun de vos gestes. Ce temps où chaque instant devient unique, précieux. Mon épaule qui frôle son torse, son bras qui effleure ma taille, chaque geste anodin devient captivant, devient la promesse d’autre chose. Et puis le cours s’arrête, coupant cours à l’adrénaline qui parcoure mon corps. On commence à retirer notre équipement, et c’est avec soulagement que je libère mes cheveux sur mon crane. Ca me fait toujours l’effet d’être tirée à quatre épingles quand j’ai les cheveux attachés. La plupart des participants ayant déjà quitté la salle, j’enlève mon débardeur sans la moindre pudeur et m’essuie le front sur le tissu. Faut dire que les vêtements féminins sont de véritables instruments de torture, et qu’une brassière suffit amplement à couvrir ce qui doit être couvert.

Alors que je fourre mon débardeur trempé dans mon sac, il pose LA question. Cette question fatidique qui fout par terre toute ma joie, qui gâche chaque souvenir de ces instants que j’ai volé sans même en avoir conscience. Même s’il a posé la question d’un ton anodin, je perçois la tension sous-jacente, cette attente de ma réponse avec un soupçon d’espoir. Et c’est mon regard amer qui détruit ses espoirs, alors qu’une partie de moi est tentée de tout nier en bloc. Ouai, je suis mariée. Ouai, ils ont réussi à me passer une laisse. Encore heureux, ils ne m’ont pas encore muselée. Mon regard retombe sur mes mains, et j’esquive la question, plus par lâcheté que par envie de mentir. De toute façon, à mon regard, il a bien dû comprendre. J’ai pas envie de le dire, pas envie de l’avouer. Pas à lui, avec son regard de braise, alors que je sens encore la chaleur de sa peau sur ma taille.

« Je gueule sur scène, et je castre spirituellement des hommes en leur prouvant qu’une gonzesse aussi, ça peut chanter du métal. Et puis sinon bah ... je gagne mon pain. Je bosse là où je peux. Et toi, à part frapper des gonzesses et jouer à Iron man ? »

Je sais pas s’il saisira la référence. Il n’y a peut-être que moi qui ai été élevée références du siècle dernier. Au pire, il me prendra pour une folle. Ça changera pas beaucoup de d’habitude. Je l’accompagne jusqu’aux vestiaires, et marque un arrêt devant la porte.

« Par contre, si tu veux qu’on continue à discuter, va falloir que tu me paye un verre. Ou alors je peux aller me changer chez les hommes, mais crois-moi, la dernière fois que j’ai tenté, il y en a deux ou trois qui ont failli faire une syncope. »

Je termine ma phrase sur un rire moqueur. Le pire, c’est que l’anecdote est vraie, à quelques exagérations près.

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Mer 5 Aoû - 10:14 Répondre en citant Editer/Supprimer ce message
Sa tignasse sauvage encadre son visage sévère, la moue qu'elle te tire n'a plus rien à voir avec la légèreté et le flirt de vos précédents instants. T'avales la bile collée sous ta langue tandis que ton sourire s’éteint quelques fugaces secondes devant ce triste constat.
Merde. Ils l'ont eut. C'est drôle, c'est pas la première fois que tu te retrouves face à une gonze déjà mariée sur laquelle t'avais jeté ton dévolu, mais en temps normal, une pincée de frustration plus tard et tu traçais ta route. Mais là, là nan. Tu bloquais sur sa réponse, t'avais pas envie de comprendre. T'adorais sa compagnie et ça te le faisais rarement ce mélange de complicité et d'attirance aussi puissamment balèze. T'avais pas envie de la quitter celle là, elle dégageait un truc qui te donnait l'envie de la connaitre, et puis t'en avais pas peur, enfin pas complètement. Peut être parce qu'elle te ressemblait, vous auriez su vous comprendre, vous laissez tranquille, vivre vos vies et vous retrouvez comme au premier jour.
Dylan aurait pu te pigeonner facile car elle t'inspirait autant de confiance que de respect, et c'était sans parler de la taille de son bonnet et de son regard foudroyant. Un silence s'écoula avant qu'elle ne reprenne:

« Je gueule sur scène, et je castre spirituellement des hommes en leur prouvant qu’une gonzesse aussi, ça peut chanter du métal. Et puis sinon bah ... je gagne mon pain. Je bosse là où je peux. Et toi, à part frapper des gonzesses et jouer à Iron man ? »

Elle te fit sourire, t'avais bouffé tous les comics de ton pays natal et ce depuis ta tendre enfance, mais ce genre de super héros, c'était collec du siècle dernier, au pays du soleil levant la culture amerloque était un mythe oublié au fond d'une boite à makis dans le ventre d'une poubelle de quartier.

- Une artiste en plus? Le veinard... Moi j'ai chopé la main mais pas la Pepper Potts qui va avec, mais c'est pas plus mal, je suis pas branché rouquine. Rien ne vaut les brunes. Sinon je suis illustrateur freelance, plus axé jeu vidéo. Si tu joues un peu t'as peut être déjà maté certains de mes persos en fait, par exemple, tu connais Empires He...

- ...Par contre, si tu veux qu’on continue à discuter, va falloir que tu me paye un verre. Ou alors je peux aller me changer chez les hommes, mais crois-moi, la dernière fois que j’ai tenté, il y en a deux ou trois qui ont failli faire une syncope.

Larsen se posta devant la porte du vestiaire pour femme, tu t'interrompis net dans ta lancée, jonglant le regard entre sa personne et l'entrée du vestiaire, y avait pas d'autres nénettes au cours, trop d'espace pour une seule personne. Tu visualisais la douche, son corps d'où perlait l'eau chaude, juste à coté, à deux pas de toi et sans vraiment y faire gaffe tu t'étais rapproché d'elle si près qu'elle devait lever haut le menton pour capter ton regard.

- Je friserai bien la syncope si ça ne tenait qu'à moi. Tu me laisses t'accompagner? Je ne te toucherai pas. Promis.

Voilà que tu te lances dans des paris impossibles pour toi même dans le seul but de gratter un peu de proximité avec elle. Accoudé contre l'encadrement de la porte, l'échine légèrement courbée au dessus d'elle, le désir se lie dans ton regard tandis que ton sourire apaise et réconforte à l'idée que tu es capable de bien te tenir. Mais en es tu réellement capable Sullivan?

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Mar 25 Aoû - 0:23 Répondre en citant
En garde, espèce de vieille pute dégarnie !
« J’pensais à une chose, en toute amitié :
Un gros pain dans votre tronche,
ce serait de nature à vous convenir ? »
L’expression que je lis dans sur son visage me fait détourner les yeux. C’est drôle, je suis pas du genre à me sentir gênée. Et pourtant, je me détourne comme une pucelle devant sa première paire de testicules. Et je me sens à poil, bien plus que le jour où j’ai gagné une bouteille de saké en traversant le carrefour de la gare de Shibuya en tenue d’Eve. Le regard qu’on échange est lourd de signification : je le vois dans ses yeux, cette étincelle d’intérêt, étouffée sous les cendres de ma liberté, qu’ils ont brûlée sous un prétexte de survie de l’espèce. C’est pourtant drôle : je m’envoyais bien plus en l’air avant qu’ils croient nécessaire de prendre le contrôle de ma vie. Et la seule perspective d’écarter les cuisses pour cet épouvantail qui me sert de mari me donne envie de mettre suffisamment de capotes à la fois pour que si quelque chose passe, on puisse l’appeler SuperZozoïde.

Et je sais qu’il la lit dans mes yeux, cette envie de l’attirer plus près, encore un peu plus près, jusqu’à sentir la chaleur de sa présence. La caresse de son souffle sur ma peau. Et qui sait, peut-être jusqu’à connaitre le goût de ses lèvres, voir même le grondement de sa voix dans ce moment où elle s’échappe sous sa forme la plus pure, où elle échappe à tout contrôle.

Sa voix ramène mes pensées dans le droit chemin. Y parait qu’elle capte tout, cette satanée puce. Elle doit bien se tripoter les circuits à épier les fantasmes de tous les japonais. Déjà qu’au siècle dernier, on était doués côté délires pornographiques, alors imaginez où on en est, maintenant que la pression sociale est passée au stade de loi infranchissable. ‘Doivent être bien contents, les Sex-Shop et autres entreprises déformant le plaisir et le désir. Un air espiègle me revient lorsqu’il avoue préférer les brunes. En voilà un qui n’a pas froid aux yeux. Le genre qui ne s’embarrasse pas à brandir ses plumes de paon en faisant croire que ce qui compte, c’est la beauté intérieure. Soyons honnêtes : on saute pas une beauté intérieure.

- Je friserai bien la syncope si ça ne tenait qu'à moi. Tu me laisses t'accompagner ? Je ne te toucherai pas. Promis.

Cette fois, j’éclate franchement de rire. En temps normal, je lui conseillerais d’avoir davantage peur pour sa vertu que pour la mienne, mais en l’occurrence, ce serait déplacé. Plus que jamais, je ressens cette épée, pendue au-dessus de ma tête, et qui attend ma première erreur pour me précipiter vers ma perte. La fidélité, ça n’a jamais été mon fort. Est-ce qu’on garde mieux le contrôle, lorsque c’est sa mort qui nous attend au bout de la nuit ?

« Je ne m’inquiète pas trop là-dessus. Tu ne seras plus trop en état de tâter mes fesses de ta main une fois que tu auras à nouveau tâté mon genou avec tes couilles. » Mon sourire espiègle et mon clin d’œil semblent dissiper le trouble dans l’esprit du jeune homme. Au moins en partie. D’un geste de la tête, je l’invite à me suivre. « Allez, amène toi. Alors comme ça, tu dessines des jeux vidéo ? Je t’avoue que je connais pas trop, tout ça. J’ai jamais été très … technologie. » Tout en parlant, je me débarrasse de mon débardeur, puis, d’un balancement de hanche, je fais glisser mon short le long de mes jambes. « Mais je veux bien tenter l’expérience, si tu viens me voir chanter un Raven’s un de ces jours. »

Je termine ma phrase en me débarrassant de mes derniers vêtements sans la moindre pudeur, et j’entre dans la douche commune. La nudité brute ne m’a jamais gênée. Pourtant, en l’entendant entrer derrière moi, je sens mes muscles se tendre. Ce mec a tellement de présence que même sans le voir, je sens son regard. Je m’assois sur le tabouret de plastique, et rempli ma bassine d’eau chaude, que je renverse sur mon dos. Pendant un instant, j’oublie la tension de mon récent mariage, et savoure juste la chaleur de l’eau après un effort intense. Même si j’aurai préféré la chaleur de deux bras autour de moi.

HRP : J’ai fait les douches communes à la japonaise, par principe !

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MessageSujet: Re: En garde, espèce de vieille pute dégarnie ! || Joshua || Ven 4 Sep - 20:04 Répondre en citant Editer/Supprimer ce message
T’as ce rire qui te prend au cœur d’un genre direct, droit dans la cible. T’es pourtant pas un féru de sucré Sullivan, mais là y a pas à dire, si son rire pouvait se bouffer tu t’en tartinerai le corps façon marmelade de mère grand. Elle t’a peut être trouvé culotté ou sévèrement atteint de débilité profonde pour ton audace, toi dans le fond, tu trouves qu’au contraire y a rien de moins osé que d’effleurer de la voix une gonze qu’est condamnée à la chasteté hors des douves du mariage. C’est de la dragouillette de branleur que tu lui sers quand on y pense, celle de ceux qui s’assurent une défaite mais peuvent se vanter d’avoir voulu flirter avec le diable. Et justement en ça, t’étais pas du genre à perdre ton temps pour batifoler avec une mariée, à moins qu’elle en vaille vraiment la peine, et merde, c’était bien ça qui te tuais, elle en valait drôlement la peine la tigresse.

« Je ne m’inquiète pas trop là-dessus. Tu ne seras plus trop en état de tâter mes fesses de ta main une fois que tu auras à nouveau tâté mon genou avec tes couilles. »

Y a comme un large sourire qui se fend sur ta face, ton regard pétille, le désir recalé au second plan par ses paroles, mais de l’amusement teinté de joie dans l’œil. Elle te cause mal comme il faut, sous entendez par là des paroles pleines de crasse et de classe de baroudeur qui teintent comme un sonnet du père Nathaniel. Plus Larsen ouvre la gueule, plus t’as l’envie d’y enfiler ta langue. Tu griffonnes trois notes de rire cassé comme un aveu devant l’incontestable: c’est plus que de son charme dont tu te sens épris, c’est le pack complet, et c’est justement parce que tu la sais marié et donc intouchable que tu t’autorises à balancer plus de sauce dans ta poitrine.

Et puis les pulsations s’accélèrent carrément lorsqu’elle se débarrasse avec nonchalance de son haut, t’invitant dans les vestiaires. T’as complètement décroché du sujet, ton regard se retrouve comme aimanté sur ses hanches qui se balancent en rythme devant toi, tandis que tes pieds la suivent docilement. Puis fout le camp son bas, tu sais pas trop par quel tour de magie, t’avais le regard barré sur sa taille joliment dessinée façon retouche photoshop mais en bien plus vrai, la comparaison sonne presque comme une insulte tellement elle est loin du compte.
Ton esprit a bien voulu enregistré l’essentiel de l’info, le Raven’s, un bar de métalleux qui te parle, t’y as déjà foutu les pieds à une époque trop lointaine pour que tu ne te souvienne que de vagues restes d'alcoolémies. T’ignores comment t’as fait pour capter l’info car elle se dessape entièrement alors. Plus le moindre bout de tissu coincé dans une plissure de fesse, rien que les contours de ses lunes plus claires contrastant avec la teinte légèrement halée de son bronzage d'été pour seul repère d'habillage. Tu déglutis en silence et marque un arrêt alors qu'elle pénètre dans les douches communes.

Qu'est ce que tu fais là, t'es sûr de toi mec? Tu sens comme ça cogne fort en dedans, tu sais que y a un putain de canon en tenue d’Eve qui t'attend dans un bain et que, pute borgne, tu pourras l'effleurer que des yeux sous peine de mort. A y réfléchir à deux fois: c'est carrément excitant.
Il t'a pas fallu plus longtemps pour reprendre le pet de contenance qui s'était barré de toi, et bientôt tu balançais à l'arrache tes frusques à même le carrelage pour accélérer la cadence en direction des bains. Tu poussais la porte et la vis de dos, assise sur le tabouret laissant couler l'eau chaude le long de sa colonne. Puis elle saisit l’éponge, fit mousser le savon et l'appliqua sur son corps. Quelque chose, peut être dans la cambrure de ses reins ou la cassure de son poignet lorsqu'elle accompagnait sa main sur ses omoplates, ou bien sa crinière bouclant au contact de l'eau, ou encore ce léger profil dévoilant à peine son visage, bref, ce quelque chose qui ne tenait à rien mais absolument à tout, te troublait d'une manière tout à fait nouvelle. Pendant ces brèves secondes, elle tenait bien plus du féminin que toutes ces pimbêches nippones réunies qu'on trouvait dans les magasines de fringues. Y avait tout les possibles au bord de tes yeux. Une sorte d'idéal en fait, à trois tatouages près. Alors que ça frôlait le coup de cœur sentimental dans ta tête, ton dard en bas pointait déjà le ciel, frais comme un gardon, tout naïf qu'il était d'imaginer qu'il pourrait faire la vidange entre ses jolies cuisses.

T'as furieusement envie de la rejoindre, mais tu t'appliques à respecter un espace de sécurité, et attends qu'elle ait terminé sa toilette et qu'elle s'immerge dans le bain pour prendre place sur l'un des tabourets. Tu es resté silencieux car bizarrement tu as jugé bon de te taire pour profiter pleinement du spectacle qu'elle t'offrait et dévorer chaque seconde comme si c'était la première. Tu fus rarement aussi muet qu'à cet instant, verbalement mais aussi physiquement. Pourtant cette créature t'inspirais mouvement et vibration à chacune de tes pulsations. L'extraordinarité de ce phénomène t'amenait à découvrir une nouvelle manière de partage, d'être avec l'autre, de par vos auras et ce qui s'en dégageaient, mais aussi de par vos regards plus intenses encore qu'une balle te perforant trois gaillards en ligne droite. Votre silence ne ressemblait en rien à du vide, mais bien au contraire était plein et débordant d'une attraction terrible, comme deux aimants qu'on aurait bâillonné de force pour stopper la collision.

Et tu avances d'un pas de plus au delà de cette ligne interdite en la rejoignant dans le bain. L'eau trouble le bas de son corps mais c'est sans pudeur qu'elle t'expose ses seins, les bras ouverts sur les rebords de la baignoire, tu décroches pas le regard d'elle tandis que t'avances de quelques pas à une distance respectable matant ce qu'il y a à voir avant qu'elle ne verrouille à nouveau tes pupilles dans les siennes. Alors, tu laisses échapper un soupir de rire, un trait de nervosité face à cette femme qui en impose assez pour te sentir impressionné. Tu la joues pas frontal direct, t'as pas l'habitude d'être celui qui suit, limite qu’hésite de peur des représailles, de pas se faire assez confiance pour se dire qu'il saura gérer la situation, bref, de te retrouver face à quelqu'un qui témoigne plus d'assurance que toi. C'est triste à dire, mais tu te sens faible un peu. Faible de n'être qu'un homme. Tu finis par éloigner ton regard, et t'adosser à ton tour à l'extrême opposé du bassin pour lui faire enfin face. Mais la pression t'oppresse, et ça commence à te faire vraiment mal en bas à jauger la puissance de ton désir, alors puisque ça devient vraiment intenable pour toi, tu trouves rien de plus con à lui dire que:

- Et si j'te violais...?

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